La définition de l’altruisme en psychologie est la suivante : une qualité qui conduit à se dévouer, à donner de soi et à vouloir faire le bien pour autrui, sans rien attendre en retour. Il y a donc deux éléments clefs à cette définition : l’envie de faire le bien autour de soi bien sûr, mais aussi le fait de ne pas attendre de récompense (prestige, acceptation, réputation) en retour. Et c’est souvent là que ça coince !
Nous laisserons de côté la question vieille comme le monde : « le vrai désintéressement est-il possible ? » pour nous concentrer sur la vertu altruiste telle qu’on l’utilise habituellement, c’est-à-dire la générosité. Cette belle qualité encensée par toutes les religions et les grands courants de pensée autour du monde est parfois plus difficile à discerner qu’on ne le pense… Alors, êtes-vous altruiste ?
Il ne suffit pas de connaître la définition de l’altruisme en psychologie pour déterminer si nous sommes des personnes généreuses. Le désintéressement est une vertu qui s’exprime au quotidien, de manière parfois subtile. Seules les personnes qui vous connaissent bien pourraient ainsi en être témoins. Et nous sommes souvent nos pires critiques ! Voici 4 signes que vous êtes une personne altruiste :
Pour faire le bien autour de soi, il faut d’abord ressentir la souffrance de l’autre. Si voir la peine du monde et les difficultés de chacun (et pas seulement vos proches !) vous bouleverse, cela veut dire que votre empathie est élevée. Et ce, même si ladite situation vous avantage. Cela veut dire que si votre supérieur se fait licencier et que vous vous retrouvez à sa place, vous êtes quand même triste pour lui, même si vous vous réjouissez de votre promotion.
La vraie générosité s’exprime même quand elle n’est pas observée. Donner à une association de manière anonyme, aider un sans-abri sans en faire l’étalage sur les réseaux sociaux, faciliter discrètement la vie de vos proches… Tout ces cas de figure nous montrent le vrai altruisme, celui qui n’a besoin ni de récompenses ni de motivation pour exister… Si vos élans de générosité ne sont pas liés à votre réputation, vous tenez le bon bout !
Il est facile de donner à ses proches, ou même à ceux qui sont les plus démunis. Mais pouvez-vous donner de vous à quelqu’un que vous ne supportez pas ? Lui viendriez-vous en aide si cette personne se retrouvait en grande difficulté ? Si l’idée même vous fait grincer des dents, rassurez-vous, c’est assez normal. Donner même à nos ennemis est quelque chose de très compliqué, mais lorsque nous y parvenons, cela montre un vrai altruisme de notre part.
Les vrais dons désintéressés sont peu nombreux. Soigner quelqu’un au risque de tomber aussi malade, donner de l’argent pour une cause alors qu’on a déjà du mal à boucler ses fins de mois, subir le froid, la faim ou la honte… Tous ces sacrifices nous permettent de voir que notre don de soi est altruiste. Il est bien sûr possible d’être généreux sans en souffrir, mais la limite est alors moins claire.
Vous vous trouvez moins altruiste que vous ne le souhaiteriez ? Pas de panique, l’altruisme et la compassion sont des vertus qui se développent chaque jour. Maintenant que vous savez ce qu’est le vrai altruisme, vous pouvez le développer chez vous grâce au pouvoir de la pensée !
Vous avez bien noté la définition de l’altruisme en psychologie et vous souhaitez faire un bilan de votre vie ainsi que de votre caractère ? Vous pouvez contacter les consultants de viversum. Ils pourront vous proposer un bilan énergétique personnalisé pour avancer avec plus de sérénité au quotidien.
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